Taslima Nasreen, a escritora e militante feminista, fala da sua odisseia em fuga permanente ao fundamentalismo islâmico:
- «Je suis née, j’ai grandi dans un pays musulman. Lorsque je critique les fondamentalismes, mais aussi les religions en tant que telles, qu’il s’agisse de l’hindouisme, du christianisme, du judaïsme, du bouddhisme, parce qu’elles oppressent les femmes, personne ne me menace de mort. Mais lorsque je parle de l’islam, alors les fondamentalistes musulmans profèrent des fatwas demandant mon exécution, ma pendaison. Ma tête est mise à prix. C’est ainsi que j’ai été expulsée de mon propre pays, le Bangladesh. Après avoir vécu dix ans en Europe, je suis partie en Inde, à Calcutta. Là encore, j’ai été visée par des fatwas. Mes livres ont été brûlés sur la place publique. Lors de la présentation de l’un de mes livres, j’ai été agressée par des fondamentalistes musulmans à Hyderabad. À Calcutta, ils sont descendus dans la rue pour exiger mon expulsion. En réponse, le gouvernement indien de gauche m’a placée en résidence surveillée à New Delhi, avant de m’expulser. À cause de ces intégristes, je suis aujourd’hui contrainte à un nouvel exil.» (UFAL)
1 comentário :
O que me indigna é que esta mídia democrática que dá todo espaço pra Taslima... é a mesma que ignorou ou ignora escritores que nem Avro Manhattan(falecido),Edmond Paris(falecido),Vladimir Dedijer e Santiago Camacho.
Por que foram ignorados?? Pq escreverem críticas à igreja.
Ou seja... a mídia só dá espaço pra quem escreve contra o islam.
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